
Aujourd’hui, lorsque l’on prononce les termes de formation à la négociation commerciale, des regards s’illuminent et, entre deux licornes, on aperçoit des professionnels bardés de supers pouvoirs, capables de vendre la Tour Eiffel à un touriste américain ou de vendre un costume blanc à Dark Vador. Mais de la coupe aux lèvres, il y a un gouffre et mieux vaut savoir accrocher son bavoir avant d’envisager goûter au nectar de la formation à l’efficacité commerciale. Continuer la lecture